Punir un enfant : les étapes pour que ce soit bénéfique

Avant de punir un enfant, vous devez fixer des limites que ce soit pour vous et pour le bébé lui-même. Pour lui faire comprendre qu’il est puni, pensez à instaurer certaines règles et à les respecter. Veillez à ce qu’il se rende compte qu’il a dépassé ces limites. Il a donc fait ce qui est interdit. Pour la toute première bêtise, vous devez lui dire qu’il a fait quelque chose de mal. S’il récidive, il n’y a d’autre option que la punition. Vous devrez l’adapter à son âge et à la gravité de la situation. Faites-en sorte qu’il comprenne que vous êtes en colère. En tant que parents, restez unis pour ne pas lui donner un mauvais message. Laissez vous ou votre partenaire le punir sans penser à intervenir. Evitez de vous contredire devant le petit. Il ne faut surtout pas vous culpabiliser si la punition a été adaptée. D’ailleurs, cet acte est indispensable pour aider votre bébé à grandir.

Les punitions qui fonctionnent

Les punitions sont dites bénéfiques lorsque votre enfant les a comprises. Elles devront donc avoir un rapport avec sa bêtise. S’il a par exemple tapé sa sœur, son frère ou son ami, il faut impérativement qu’il explique ce geste et s’excuse. Cet acte est déjà une vraie punition pour le bébé. Si, par contre, il a fait un dessin sur les murs, il doit être capable de le nettoyer. Lorsqu’il fait une colère, envisagez de l’envoyer au coin. Là, il s’agit d’isoler le petit jusqu’à ce qu’il soit calme. Si l’un de vos enfants a eu de mauvais résultats à l’école, il est conseillé d’en discuter avec lui et de comprendre qu’il a des difficultés avant de penser aux punitions. Lui demander de faire un ou des exercices de mathématiques le soir peut le dégoûter. Pour éviter ceci, vous pouvez aider votre petit à s’améliorer.

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Une nounou pour plusieurs enfants de différentes familles

Ce concept est baptisé « garde partagée ». Le principe est simple : sur une même période, une/un même baby-sitter s’occupe à la fois de vos enfants et de ceux d’autres familles au domicile de l’une de ces dernières ou à la vôtre. Il est à remarquer que ce système présente plusieurs atouts, notamment, au niveau financier. Ce dernier point a toute son importance, car le coût d’une agence traditionnelle est généralement élevé. En recourant à ce système de partage, vous réussissez à diminuer ce coût. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des agences spécialisées dans ce mode de garde. N’hésitez donc pas à privilégier ce type de prestataires pour faire des économies, offrir à votre enfant la convivialité d’un groupe, profiter de l’expertise de baby-sitters expérimentés, tout en bénéficiant des avantages d’une agence de garde d’enfants.

Les critères de choix de l’agence

Il y a en premier lieu l’expérience : depuis combien de temps l’organisme fait-il cette activité ? Ensuite, il y a le profil des baby-sitters à son service. Il serait bien qu’ils aient de solides références. Cela peut compenser une expérience insuffisante (par exemple : une année d’existence).

Autre point important, attardez-vous sur le service.
Il y a, par exemple, des agences qui acceptent de prendre vos enfants à l’école et de les ramener à domicile. A noter que ce type de service est également proposé par des agences d’aide à domicile.
Il existe également des agences qui proposent des activités aux enfants durant la garde. Le baby-sitter a alors des connaissances pédagogiques.
Par ailleurs, des agences prennent l’initiative d’accomplir les démarches administratives en votre nom (par exemple : dossier auprès de la CAF) pour vous décharger de cette tâche chronophage. Dernier conseil et non des moindres, optez pour un établissement de proximité (une agence de votre quartier par exemple).

D’autres pistes

Pour l’heure, vous faites le choix de ne pas vous tourner vers une agence. Ce n’est pas grave, car des solutions existent. Commencez par questionner autour de vous : des amis, de la famille, des collègues, etc. Ces proches et connaissances vous conseilleront leurs propres baby-sitters, ou, du moins, vous mettront en contact avec l’organisme qui les a aidés à les trouver. Il y a également le web où fleurissent des plateformes de mises en relation de baby-sitters et parents. Si vous préférez cette option, alors prenez le temps de lire minutieusement les CV des candidats qui sont inscrits sur ces sites. Enfin, notez que baby-sitting n’est pas synonyme de « job d’étudiants ». Vous avez bel et bien des professionnels qui travaillent à leur compte en tant qu’entrepreneurs individuels. Certains sont, dans le même temps, rattachés à une agence.

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Le jeu vidéo offre plus de concentrations et une meilleure observation

Rien n’est évident dans les jeux vidéo. De ce fait, les joueurs doivent rester bien concentrés et suivre toutes les instructions pour pouvoir éviter les pièges et bien évoluer dans chaque étape du jeu. Avec ce besoin de concentration, les gamers sont des personnes qui ont la faculté de voir certains petits détails que les personnes normales, même en dehors des jeux. De plus, ils sont obligés de mémoriser tous les obstacles pour pouvoir les éviter et les surmonter à nouveau, s’ils n’ont pas réussi à atteindre les objectifs d’un niveau durant la première tentative. Cette faculté va s’adapter dans le quotidien du joueur. Il va aussi avoir une bonne faculté de mémorisation.

Le jeu vidéo permet d’accepter les échecs et apprendre de ses erreurs

Dans un jeu vidéo, rares sont les personnes qui arrivent à passer un niveau difficile du premier coup. Les joueurs échouent, mais refusent l’échec et généralement, insistent jusqu’à ce qu’ils terminent tous les niveaux. La concentration des joueurs les amène à se rappeler naturellement et de manière précise, les parcours difficiles. En évoluant après un échec, ils essaient de toujours chercher la meilleure stratégie pour pouvoir progresser et atteindre un objectif.

Le jeu vidéo booste la créativité et développe la personnalité

Les jeux vidéo permettent de faire des analyses et ainsi, de développer différentes stratégies pour résoudre un problème et outrepasser un obstacle. Dans les jeux vidéo, généralement, pour passer un obstacle, les développeurs cachent différentes solutions que les joueurs doivent trouver. Ces solutions amènent à un seul objectif et les poussent à réfléchir. Il faut aussi noter que passer du temps sur une console développe plusieurs catégories d’émotions. C’est la capacité du joueur à gérer et à canaliser ces dernières qui va l’aider à avoir une concentration maximale. Et enfin, le fait de prendre les bonnes décisions lors d’une partie booste la confiance en soi et procure un meilleur contrôle de tout son être.

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Le rôle des parents

Les parents stressent plus que leurs enfants le jour de la rentrée. Le fait de prendre conscience que l’enfant grandit et qu’il sera bientôt autonome est un mal non dissimulé. Ainsi, le futur élève lui-même entre dans un état de frustration. Éviter la souffrance psychologique de votre enfant est simple, lorsque vous êtes en connaissance de vos torts. Avant de l’emmener à l’école, expliquez-lui la valeur de ce lieu et les bonnes choses qui l’attendent. Expliquez-lui que c’est une étape obligatoire, en sachant qu’un enfant a toujours hâte de grandir. Précisez-lui qu’il aura beaucoup de camarades de classe, une gentille maîtresse, et quand vient l’heure de la sortie, vous serez au portail pour l’attendre. C’est essentiel de rassurer l’enfant sur le déroulement de son premier jour. Mais parmi toutes ces astuces, vous ne devez en aucun cas rester plus de deux minutes au portail pour la première semaine. Le plus souvent, discuter avec sa maîtresse tout en lui faisant comprendre qu’il n’a rien à craindre est la raison de ces petites minutes.

Le rôle de l’enseignante

Les enfants entrant en maternelle ont une manie concernant la peur de l’inconnu. C’est tout à fait normal et les enseignantes sont censées être au courant de cela. Par conséquent, il est du devoir de la maîtresse d’utiliser les bonnes méthodes pour attirer l’enfant. Lui montrer les jouets de la maternelle, l’amadouer avec des outils qu’il utilisera pour le long de l’année scolaire est des exemples d’astuces gagnants. Chaque enseignante d’école connaît ses petites combines, qu’elles ont apprises pendant les formations pédagogiques, pour calmer un enfant. De plus, ces méthodes sont applicables pour chaque caractère d’enfant. La maîtresse agit en fonction de l’état de l’enfant. Si celle-ci est en pleurs, elle se doit de le bercer et de le distraire.

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En cas de garde partagée

Si la garde de l’enfant est partagée, et que l’un des parents a un revenu supérieur à celui de l’autre, la contribution pour l’enfant est obligatoirement prévue. Garde partagée, charge partagée : c’est la règle ! Le montant de la contribution peut être fixé ensemble en établissant un budget mensuel par exemple. Chacune des parties doit savoir que les besoins d’un enfant sont importants. L’essentiel est de parvenir à trouver une entente sur les contributions financières pour ce dernier, et ce, de manière équitable sans qu’aucun des parents ne se sentent lésés. Si les parents ne parviennent pas à trouver un accord sur les contributions financières pour leur enfant, le cas est laissé à l’appréciation du juge. Si toutefois, les parents trouvent un accord, celui-ci doit être vérifié car il doit être valable aux yeux de la loi.

Autres modes de garde

A part le mode alterné, on distingue deux autres modes de garde : la garde réduite et la garde classique. On parle aussi de garde exclusive quand un seul des parents a la garde de ou des enfants de manière exclusive. Le principe est le suivant : le parent qui n’a pas la garde de l’enfant est tenu de verser une pension alimentaire. La pension alimentaire à verser par le parent qui n’a pas la garde exclusive varie donc en fonction du mode de garde (réduit ou classique) et d’autres critères comme le nombre d’enfant et leurs besoins divers. Le juge prend aussi en compte le revenu du parent bénéficiaire, c’est-à-dire, celui qui a la garde exclusive. Le ministère de la justice propose une table de référence pour faciliter la fixation des pensions alimentaires en cas de divorce mais le juge aux affaires familiales n’est pas tenu de s’y conformer.

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À quel moment est-ce que vous devez en parler ?

Les spécialistes de la psychologie sont unanimes sur le fait qu’il est préférable de faire connaître son adoption à un enfant le plutôt possible. De cette manière, il pourrait avoir le sentiment de toujours l’avoir su et que vous ne lui cacher pas d’autres secrets qui pourront lui concerner. En effet, les secrets de famille sont souvent des poisons dans la vie familiale en engendrant des troubles, des violences psychologiques ainsi que des traumatismes. Lorsque vous retardez le moment de révéler la vérité à votre enfant, il pourrait avoir la sensation d’avoir construit sa vie et sa personnalité sur une réalité erronée. Pour qu’il sache son histoire, parlez ouvertement de son adoption avec vos proches sans trop vous étaler sur le sujet. Utiliser des mots simples pour lui expliquer la situation et dès qu’il est en âge de bien comprendre les choses, montrez-lui des photos de son arrivée tout en faisant en sorte qu’il se rende compte de votre bonheur à ce moment-là. Ainsi, il pourra s’approprier de son histoire.

Comment est-ce que vous devez vous y prendre ?

Il n’est pas nécessaire de tout dire à votre enfant. En fait, vous devez tout simplement lui fournir certains éléments concrets qui pourront l’aider à comprendre la situation. L’idée est en fait de le protéger des représentations qui peuvent encore être incompréhensibles et insupportables à son âge. Vous devez aussi choisir minutieusement les mots que vous utilisez en fonction de l’âge de votre enfant, tout en restant dans la simplicité. Vous devez aussi faire en sorte de dédramatiser la situation pour que votre enfant n’ait pas le sentiment de ne pas se sentir à sa place. Pour couronner le tout, vous ne devez surtout pas en faire trop lorsque vous lui parler de ses parents biologiques ni même d’accabler ces derniers. Les deux figures de cas peuvent l’anéantir.

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Les centres de loisirs

Presque toutes les villes françaises disposent d’au moins un centre de loisirs qui peut accueillir les enfants chaque mercredi et pendant les périodes de vacances scolaires. Les horaires d’accueil peuvent variés en fonction de la ville où se situe le centre. Ce genre d’établissement dispose généralement une équipe d’animation qui est tenue d’assurer l’encadrement des enfants. Il y en a également toutes sortes d’activités manuelles et sportives, de quoi les enfants pourront s’amuser tout au long de la journée. D’habitude, il faut que l’enfant soit au moins âgé de 3ans pour pouvoir opter pour ce mode de garde.

Les jeunes filles au pair

Ce n’est pas très habituel, pourtant laisser la garde d’un enfant à une jeune fille au pair peut être une très bonne solution, pendant les vacances. C’est un système qui est essentiellement basé sur un échange de procédés honnêtes. En fait, une jeune personne (fille ou garçon) séjourne dans un foyer pendant les périodes de vacances et s’occupe des enfants tout en pouvant les apprendre la langue. En contrepartie, son foyer d’accueil accepte de l’héberger, de lui offrir couvert et de lui donner de l’argent de poche. Une jeune fille au pair doit être considérée comme étant une membre de la famille et ne doit pas être considérée comme une employée.

Les baby-sitters

C’est un mode de garde d’enfant qui n’a presque plus aucun secret pour tout le monde. En fonction de l’âge de l’enfant à garder, il est possible de faire appel à un jeune étudiant pour le garder pendant les enfants. Assurez-vous tout simplement que la personne fasse le travail parce qu’elle aime vraiment les enfants et non pas parce qu’elle veut tout simplement se faire un petit argent de poche.
Sinon, certains parents choisissent le mode de garde le plus simple et aussi le plus sûr, mais surtout l plus idéal. Il s’agit en fait de laisser la garde des enfants aux grands-parents.  

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À ne pas donner à votre enfant avant de dormir

Si vous voulez que votre enfant dorme correctement, il ne faut pas lui donner tout et n’importe quoi à votre enfant au dîner. En premier lieu, vous devez bannir de son assiette les aliments riches en protéines, surtout les viandes rouges, car ils sont difficiles à digérer. La digestion peut avoir un impact sur le sommeil de l’enfant. Vous devez également éviter les aliments trop gras, comme la crème fraîche, les charcuteries, le junk food, ainsi que tous les aliments riches en graisses saturées. Leur digestion nécessite du temps et de l’énergie, ce qui pourrait avoir un impact sur le sommeil de votre enfant. Cela peut même provoquer des sueurs nocturnes. Vous devez également éviter de servir d’aubergine à votre enfant avant qu’il aille au lit. La nicotine qui est très présente dans ce légume peut avoir un impact sur la qualité du sommeil de votre enfant. Il s’agit d’un important excitant qui perturbera la phase d’endormissement de l’enfant. Bien évidemment, les friandises et les sucreries sont à bannir avant de dormir tout comme les sodas et les gâteaux. Ils sont mauvais pour la santé, surtout pour les dents. Mais surtout, le sucre est un élément perturbateur du sommeil.

Que doivent manger vos enfants avant de dormir ?

Pour que votre enfant puisse profiter entièrement de son sommeil, vous devez lui servir des aliments à base de féculent au dîner. Les aliments comme les pommes de terre, les patates douces, les quinoas ou encore les pois chiches favorisent la sécrétion de la sérotonine, qui favorise l’endormissement.
Il est important de créer un rituel d’endormissement pour inciter les enfants à se mettre au lit le plus rapidement possible. Ainsi, après avoir dégusté un repas sain, il faut également créer une ambiance agréable et favorable au sommeil. Évitez d’exposer les enfants aux écrans au plus tard une heure avant d’aller au lit. Il faut absolument l’empêcher de grignoter après avoir mangé pour éviter à l’estomac de travailler plus. Pour éviter qu’il fasse pipi au lit, éviter de le faire boire avant de dormir.
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